Le Paris Saint-Germain et le RB Leipzig d’un côté, l’Olympique Lyonnais et le Bayern de Munich de l’autre. Des les demi-finales de la Ligue des Champions de l’UEFA, une chose était certaine : les équipementiers Nike et Adidas allaient s’affronter en finale, ce 23 août.

D’un côté, Nike, sponsor du PSG et de Leipzig, de l’autre Adidas, qui équipe Lyon et le Bayern. Qu’importe les résultats des demi-finales, les deux marques se retrouveront le 23 août en finale. Si c’est finalement le Paris Saint-Germain et le Bayern Munich qui s’affrontent,les relations qui unissent les équipementiers avec ces différents clubs ne sont pas interchangeables.

L’an passé, Nike, sponsor du PSG depuis plus de 40 ans, a prolongé le partenariat l’unissant au Paris Saint-Germain jusqu’en 2032, tout en triplant le montant annuel versé à la formation de la capitale, de 25 à 75 millions d’euros ! De plus, Paris bénéficie d’un statut privilégié, étant, en 2018 le premier club de football à avoir signé un accord avec Jordan, la filiale de Nike dédiée au basket. De quoi dépasser le simple champ sportif pour inscrire le PSG comme une marque lifestyle incontournable. De son côté, le RasenBallsport Leipzig n’est associé à Nike que depuis la saison 2014-2015, ce qui ne l’empêche pas d’être dans les 10 clubs européens les plus privilégiés par l’équipementier, alors même qu’il n’est en première division allemande que depuis la saison 2016-2017 !

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— adidas France (@adidasFR) August 4, 2020

Instagram se dote d’un quatrième format: Reels. Une fonctionnalité qui permet de tourner de courtes vidéos enrichies d’animations créatives. Objectifs: attirer les très jeunes utilisateurs sur sa plateforme.

« L’idée est d’apporter un nouveau mode d’expression, plus fun, plus créatif, à Instagram. Reels offre la possiblité d’un storytelling différent, en plus de nos quatre formats déjà en place: le feed, les stories, IGTV et le live », a expliqué Guillaume Thevenin, responsable des partenariats médias et personnalités publiques d’Instagram, au cours d’une table ronde pour présenter cette nouvelle plateforme. Reels, déjà testée au Brésil depuis novembre, va être déployée à partir de mercredi 24 juin à 15 heures.

Avec la possiblité, depuis le mode caméra, de tourner de courts clips vidéos de moins de 15 secondes, de les enrichir de morceaux de musique issues d’une vaste bibliothèque, d’effets spéciaux, de la possibilité de modifier la vitesse, d’éléments de réalité augmentée, de tous les filtres déjà disponibles sur le format « stories » et avec son outil d’alignement son et vidéo, Reels se présente comme un sérieux concurrent de TikTok, l’application phare de la génération Z qui cartonne actuellement. « Nous avons répondu à une très forte de demande de nos utilisateurs de pouvoir créer et éditer des vidéos courtes et très créatives à l’interieur même de la plateforme Instagram, comme ils peuvent le faire sur d’autres réseaux sociaux », assure Guillaume Thevenin.

Il sera possible de partager les Reels dans le fil d’actualité, et pour les comptes publiques, de les partager dans un nouvel espace dédié dans l’onglet « Explorer » et ainsi d’être découvert par la communauté Instagram. Certains Reels porteront une étiquette « À la une ». Il s’agit d’une sélection élaborée par les curateurs d’Instagram.

Les contenus peuvent être très variés: chorégraphies, beauté, life style, humour mais également messages, discours, etc. 

Concernant la présence des annonceurs sur Reels, pour le moment Instagram déclare vouloir se concentrer sur la prise en main des créateurs de contenus et des « teens » (adolescents). Mais assure travailler sur une prochaine monétisation et sur un accompagnement des marques dans le cadre de collaborations avec les influenceurs.

Guillaume Thevenin, responsable des partenariats pour Instagram Europe du Sud, sera l’invité du webinar organisé par Stratégies et Bazaarvoice le 8 juillet prochain.

>>> Pour lire la suite de l’article publié par Strategies.fr, cliquez ici

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Les mouvement de solidarité fleurissent : certains font des dons, offrent une visite virtuelle de leur fondation, pendant que d’autres fournissent des masques ou décident de mettre à profit leurs usines en lançant une production de masque et gel hydroalcoolique… Passage en revue de quelques actions.

Les engagements les plus importants semblent être ceux de Kering et LVMH, mais ils sont loin d’être les seuls à s’être mobilisés :

>>> Kering : les ateliers Balenciaga, YSL et Gucci vont fabriquer des masques

Dimanche 22 mars, Kering a ainsi annoncé une première livraison de trois millions de masques aux services de santé français. Acheminé depuis la Chine, ce stock devrait être complété, dans les jours à venir, par des masques créés directement au sein des ateliers hexagonaux des maisons Yves Saint Laurent et Balenciaga. Les opérations de production devraient débuter « dès lors que les procédés et matières auront été homologués par les autorités compétentes » afin de respecter les réglementations sanitaires en vigueur.

En Italie, une autre maison du groupe, Gucci, s’est également mobilisée pour tenter de répondre aux besoins matériels du personnel soignant. 1,1 million de masques chirurgicaux et 55.000 blouses médicales devraient ainsi être confectionnés dans les semaines à venir, là encore dès l’obtention des autorisations sanitaires nécessaires.

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>>> Après la production de gel hydroalcoolique dans les usines Dior Parfum, LVMH va fournir 10 millions de masques

Après avoir produit plus de 12 tonnes de gel hydroalcoolique cette semaine, le groupe de luxe français annonce la livraison imminente de masques de protection pour faire face à l’épidémie de COVID-19 en cours.

Il y a quelques jours, LVMH annonçait la mobilisation des unités de production de sa Division Parfums & Cosmétiques (Parfums Givenchy, Parfums Christian Dior et Guerlain) afin de lancer la fabrication et le conditionnement de gels hydroalcooliques distribués gracieusement aux établissements hospitaliers. Face à la pénurie de masques de protection, le groupe réaffirme son engagement.

« LVMH a réussi, grâce à l’efficacité de son réseau mondial, à trouver un fournisseur industriel chinois capable de livrer dix millions de masques en France dans les prochains jours (sept millions de masques chirurgicaux et trois millions de masques FFP2) » annonce ainsi le géant du luxe par le biais d’un communiqué officiel paru ce jour. « Afin de sécuriser cette commande dans un contexte extrêmement tendu et de permettre à la production de commencer dès aujourd’hui, Bernard Arnault (ndlr. Président Directeur Général du groupe) a souhaité que LVMH finance intégralement la première semaine de livraison, soit environ cinq millions d’euros« est-il précisé.

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>>> La Fondation Prada à Milan lance des visites virtuelles

Alors que les mesures gouvernementales relatives à l’épidémie de COVID-19 ont entrainé la fermeture temporaire de l’établissement, la Fondation Prada – spécialisée dans l’art contemporain – imagine des formats alternatifs.

« Durant la fermeture temporaire, les comptes sociaux de la Fondation Prada (ndlr. Instagram, Facebook, Twitter, YouTube et Vimeo) vont devenir un laboratoire d’idées pour de nouveaux formats et de nouveaux codes, a partagé la direction du musée, basé à Milan. Le programme #InnerViews va remplacer les visites physiques des trois expositions récemment ouvertes, à savoir « The Porcelain Room », « Storytelling » et « K », en proposant une expérience virtuelle mêlant interviews, images, vidéos et focus sur les expositions ».

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>>> Et aussi

Pernod Ricard produit du gel hydralcoolique, de même que L’Oréal / Moncler annonce le financement à hauteur de 10 millions d’euros d’un hôpital temporaire à Milan / Dolce & Gabbana finance la recherche en Italie / Armor Lux, les tissages de Charlieu, ou encore la marque de jean 1083, vont fabriquer des masques en tissu / Les dons d’Armani, Benetton et Versace aux systèmes de santé italiens et chinois /

Quelques autres articles :

Les Echos – Comment les ateliers de mode veulent se convertir à la fabrication de masques

Novethic – Entre solidarité et « effort de guerre », des entreprises se mobilisent contre le coronavirus

L’Echo Touristique – Les hôtels s’engagent pour gérer la crise sanitaire

Les Echos – Les hôtels se transforment en centres d’hébergement

Malheureusement, nous n’oublions pas les nombreux évènements sont reportés ou annulés, la plupart des ateliers et usines fermés, les boutiques bien sûr fermées, les créateurs ou artisans qui risquent d’être fragilisés, le secteur du tourisme et de l’hôtellerie & restauration gravement touchés. mais en cette période particulièrement anxiogène, nous voulions ici présenter quelques initiatives positives…. Prenez soin de vous.

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