Louis Vuitton donne le coup d’envoi du Mondial 2018

Pour sa troisième participation à la Coupe du Monde, Louis Vuitton annonce une collection exclusive dédiée à l’événement sportif ainsi que l’ouverture d’un pop-up store à Moscou.

Depuis 2010, le célèbre malletier imagine l’écrin officiel qui transporte la coupe du monde.

La malle du Mondial 2018 signée Louis Vuitton a été révélée au grand jour, le 17 mai dernier. À cette occasion, le mannequin russe Natalia Vodianova et l’ancien joueur de football français – vainqueur de la Coupe du Monde 1998 – Franck Lebœuf, ont présenté cet objet d’exception.

Louis Vuitton a également créé un coffre de collection pour les ballons des matchs officiels, en collaboration avec la marque sportive Adidas. Seulement 21 exemplaires seront mis en vente dans le monde entier. Ce coffre abrite une réédition de treize ballons officiels du Mondial depuis 1970, mais également un ballon inédit imaginée par la Maison Louis Vuitton.

Enfin, Louis Vuitton propose aux supporters une collection en l’honneur du Mondial 2018, sous licence de la Coupe du Monde de la FIFA. Cette ligne raffinée offre des versions inédites des sacs Keepall et Apollo ainsi qu’une gamme de petite maroquinerie en cuir. Le malletier a également créé un logo spécialement pour l’occasion, sous la forme d’un blason aux initiales LV de la Maison.

 

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Facebook s’associe avec les chaînes de télé et se lance sur l’info

Le réseau social a annoncé de nombreux partenariats avec des chaînes de télévision, pour la production d’émissions d’information et de magazines vidéo, destinés à sa plateforme Watch.

Facebook a annoncé mercredi le lancement de plusieurs émissions d’information, dont certaines quotidiennes, en partenariat avec des géants des médias comme CNN, ABC ou Fox News, pour alimenter sa plateforme vidéo Watch. Comme la plupart des autres géants d’internet, le réseau social investit désormais massivement dans ses propres contenus vidéo après s’être longtemps appuyé, comme la plateforme YouTube (Google), sur les vidéos produites par ses utilisateurs.

Facebook a confirmé mercredi à l’AFP que les huit émissions d’information qui seront visibles gratuitement sur la plateforme intégrée Watch, ont toutes été financées intégralement par le réseau social. Parmi ces programmes, quatre seront quotidiens, consacrés à l’actualité du jour et réalisés, respectivement, par la chaîne ABC (groupe Disney), les chaînes d’information CNN et Fox News et Univision, ce dernier en espagnol. La nouvelle émission « Anderson Cooper Full Circle », animée par le présentateur vedette de CNN Anderson Cooper, sera même diffusée en direct chaque jour. ABC a, lui, précisé que la chaîne proposerait, en plus de sa quotidienne, des directs en cas d’événement d’importance, selon une note interne du président d’ABC News, James Goldston, transmise à l’AFP.

Vers de nouveaux revenus
Pour les chaînes traditionnelles, la collaboration avec Facebook est un moyen d’accéder à de nouveaux publics et de pallier le lent déclin, aux Etats-Unis, du câble, qui constitue encore le cœur de leur modèle économique. CNN s’est ainsi dit « enthousiaste » d’« ouvrir une nouvelle voie pour accéder à notre public », dans un communiqué publié mercredi 6 juin. Pour le responsable du numérique au sein de CNN, Andrew Morse, « ce programme est un signe du fait que Facebook est prêt à donner de la valeur à du contenu exclusif et au journalisme de qualité ». « De ce fait, nous sommes optimistes quant aux futures opportunités de revenus », a-t-il conclu. Par le passé, Facebook a souvent été critiqué par des groupes de médias pour son refus de partager les revenus générés par la publication de leurs contenus sur le réseau social.

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Mona Chalabi, l’instagrammeuse qui arrive à rendre la data sexy

Entre une pige et deux illustrations pour The Guardian US, Mona Chalabi abreuve son compte Instagram de data sous la forme de croquis « anti fake news » pleins de malice.

Data-journaliste d’une trentaine d’année, Mona Chalabi est une férue de chiffres. Depuis 2017 et après une carrière de statisticienne pour les comptes de la Banque d’Angleterre, de The Economist et de l’Organisation internationale pour les migrations, elle écrit pour The Guardian US et rend compte de statistiques diverses sous la formes de croquis colorés et décalés.

Sur son compte Instagram, la journaliste abreuve ses followers de graphiques censés les éclairer sur les différents combats (question du genre, sexualité, féminisme, discriminations raciales…) qu’elle semble mener à titre personnel. Mais l’humour n’y est pas pour autant proscrit, loin de là. En tombant sur son dernier #datasketch en date, on en apprend plus sur la calvitie masculine et sur l’âge où ces messieurs ont le plus de chance de se déplumer… Présentées de façon créative, les data semblent retrouver leurs lettres de noblesse en même temps que leurs publics, en particulier sur les réseaux où chacun peut y aller de son commentaire et fait évoluer le débat.

La journaliste place sa créativité et sa malice au service de ses causes
Dans un TED Talk publié en février 2017, elle explique la bataille qu’elle mène depuis plusieurs années à l’encontre des fausses informations et questionne le rapport de ses concitoyens vis-à-vis des données publiées par les gouvernements. Trop élitistes, trafiquées, peu réalistes… ils sont nombreux à douter de leur véracité et à penser qu’elles n’ont pas pour vocation de les éclairer, mais bien de les manipuler, comprend-on en filigrane. « Nous vivons entourés de faits alternatifs et ne trouvons pas de terrain d’entente sur ces chiffres, et c’est un problème », explique celle qui veut remettre la data entre les mains du public. Et en effet, pointe-t-elle plus loin durant son speech, « comment mener un débat sur l’immigration sans s’accorder au moins sur le nombre de gens qui entrent et sortent d’un pays ? ».

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