Chanel reconstitue ses champs de Grasse aux Tuileries !

Du jasmin, de la rose, de l’iris, de la tubéreuse et du géranium… Ces belles fleurs composent les champs de Grasse mais aussi nos parfums préférés signés Chanel. Pour célébrer cette nature poétique, la maison recrée ses champs de fleurs à parfum aux Tuileries. Un moment éphémère à ne surtout pas rater.
Le parfum ce n’est pas qu’une histoire de nez, c’est aussi une histoire de famille et de nature. Voilà plus de trente ans que la maison Chanel travaille main dans la main avec la famille Mul pour composer ses précieux parfums. Située à Pégomas dans la région de Grasse, la famille collabore avec la maison au double « C » pour garantir la qualité exceptionnelle des fleurs nécessaires à la formulation de ses parfums. Un exemple ? Le jasmin de Grasse qui parfume le cultisme N°5. Pour honorer cette belle alliance et faire découvrir au grand public une partie des 20 hectares de l’exploitation, Chanel investit le jardin des Tuileries et propose de découvrir les cinq fleurs à parfums grassoises que sont le jasmin, la rose, l’iris, la tubéreuse et le géranium. Parcours olfactif dans la bastide, découverte des parfums et de leurs matières premières, conférences sur les plantes à parfum… Chanel propose un voyage olfactif et botanique à couper le souffle. A ne surtout pas rater.
Ouvert au public du 31 mai au 3 juin.
Billet disponible sur place, à la Fnac ou en ligne.
14 € plein tarif, 10 € tarif réduit et gratuit pour les moins de 18 ans
>>> Pour lire la suite de l’article publié par Elle, cliquez ici
En bonus, voici quelques premiers visuels de l’évènement piochés sur Facebook & Instagram :
Retrouvez toutes les news sur ce lien
& Suivez-nous sur Facebook, sur Instagram, sur Twitter et sur Linkedin
Bientôt une « Maison des médias libres » à Paris ?

Un millionnaire de gauche veut sa «Maison des médias libres»
Olivier Legrain, ex-communiste enrichi dans l’industrie, est en lice pour acheter à la municipalité parisienne un site boulevard de Charonne. Il entend y installer des organes de presse tels les sites «Mediapart» et «Basta», les magazines «Politis» et «Alternatives économiques», la revue «Esprit»…
Avec sa structure massive de béton, sur cinq niveaux, et sa lourde porte d’entrée, surmontée d’une mystérieuse inscription «Poste Nation», le bâtiment n’est pas le plus gracieux de Paris. L’énorme porche et les grandes baies encadrées de vert viennent cependant aérer l’imposante façade, qui donne sur le boulevard de Charonne et ravira les fans d’architecture industrielle. Propriété de la ville de Paris, ce magnifique immeuble de 1929 compte parmi les 31 sites faisant l’objet d’un appel à projets d’aménagement lancé par la municipalité. Baptisé «Réinventer Paris», ce concours d’architecture et d’urbanisme, dont la deuxième phase est en cours, vise à offrir une nouvelle vie à quelques lieux désaffectés de la capitale. S’étendant sur une surface de 6 000 m², éclairé en son cœur par une nef de 25 mètres de haut, cet ancien poste de transformation d’EDF, idéalement posé dans l’est parisien, entre la place de la Nation et le cimetière du Père Lachaise, est l’un des plus beaux sites mis en jeu par la Ville. Quatre dossiers ont été retenus en finale, dont celui voulant le muer en «Maison des médias libres».
Ce projet est porté par une coalition de médias marqués à gauche, se définissant comme «indépendants» (par opposition aux médias détenus par des milliardaires ou des grandes entreprises, type le Monde,les Echos,le Figaro ou Libé). Le «comité de pilotage» regroupe Mediapart, le site d’investigation d’Edwy Plenel, les magazines Alternatives économiques et Politis, la revue d’idées de la «deuxième gauche» Esprit et le site Basta. «Mais une vingtaine d’autres médias sont intéressés», précise d’emblée Agnès Rousseaux, rédactrice en chef de Basta, présente depuis que l’idée a pris forme il y a trois ans.
Parmi les «partenaires» associés de plus ou moins près, on trouve le groupe So Press (Society,So Foot), la société de production Premières Lignes (Cash Investigation) ou encore les sites Reporterre (écologie) et Arrêt sur images (médias). L’idée de la «Maison des médias libres» ? Faire cohabiter d’ici 2021 ou 2022 l’ensemble de ces rédactions, dans l’espoir que la proximité leur soit bénéfique, financièrement et journalistiquement. En emménageant ensemble, elles pourraient mutualiser certains coûts (studios d’enregistrement, frais courants, cantine…) et s’associer pour monter des coups éditoriaux (enquêtes collaboratives, grands reportages…). D’après les initiateurs, il y aurait assez de place dans le bâtiment pour loger 20 à 25 médias et 400 à 500 journalistes. «On veut en faire un lieu emblématique de la presse indépendante, poursuit Agnès Rousseaux. Mais aussi un lieu ouvert au public, qui favorise l’inclusion des citoyens et développe l’interaction entre les lecteurs et les médias». Ce projet d’aménagement prévoit l’installation de salles de débat, de projection et d’exposition dans l’ancien «transfo».
>>> Pour lire la suite de l’article publié par Libération, cliquez ici
Retrouvez toutes les news sur ce lien
& Suivez-nous sur Facebook, sur Instagram, sur Twitter et sur Linkedin
Brut lève 10 millions d’euros et amplifie sa présence

Le média français de vidéos exclusivement présent sur les réseaux sociaux s’apprête à lancer une version britannique et réfléchit à une implantation dans le monde hispanique.
Brut, le média français qui publie ses vidéos exclusivement sur les réseaux sociaux, « sera rentable à la fin de l’exercice 2018 », prévoit son cofondateur Guillaume Lacroix. Cette perspective a sans doute rassuré les investisseurs approchés lors d’une première levée de fonds qui s’est révélée fructueuse : « Nous nous apprêtons à lever 10 millions d’euros », a déclaré vendredi 25 mai au Monde M. Lacroix, qui refuse de donner l’identité des futurs actionnaires.
Selon nos informations, aucun groupe de médias ne figure dans la liste qui réunirait des investisseurs français et américains. Les sommes récoltées permettront de financer les ambitions internationales du groupe et le développement d’outils technologiques permettant, selon son cofondateur, de « mieux connaître les audiences ».
Le succès du modèle Brut repose principalement sur un défi que l’équipe a su relever. A la question : « Comment parler de politique à des jeunes ? », le média a proposé une réponse convaincante. En vidéos, diffusées exclusivement sur les réseaux sociaux. La plateforme a été lancée en novembre 2016 par Guillaume Lacroix, Renaud Le Van Kim et Laurent Lucas, respectivement passés par TF1, la direction de Canal+ et « Le Petit Journal » de Yann Barthès. Le trio a fait ses preuves dans le monde de la télévision. « Nous essayons d’aborder des sujets qui concernent les jeunesses du monde entier en nous focalisant sur le féminisme, les luttes contre les discriminations, l’environnement et le traitement de la culture sous un prisme sociétal », détaille M. Lucas, directeur des rédactions.
>>> Pour lire la suite de l’article publié par Le Monde, cliquez ici
Retrouvez toutes les news sur ce lien
& Suivez-nous sur Facebook, sur Instagram, sur Twitter et sur Linkedin